Et il y a ce concours blanc qui approche...
Ces derniers jours, je me suis plus intéressée à mon couple qu'aux heures qui me seront fatidiques à partir de jeudi, et ce jusque vendredi prochain, soient ces heures de concours blanc, qu'en septembre, pensant partir bien vite vers la fac, n'existaient en moi que comme un rêve. "Rêve" est un bien grand mot, soit. Disons, une illusion, ou bien quelque chose qui n'a pas de matérialité propre. Et aujourd'hui, dimanche 10 décembre, c'est dans cinq jours ! Et non, non, je ne connais rien, ou peu de choses ! Je vais me reprendre dès alors. Et pourtant, je ne suis pas prête à recevoir ces copies en janvier, où l'on me reproche ma syntaxe en philosophie, mes hors-sujets d'histoire, mon manque de contenu de géographie, et mon manque de culture générale en français... Je crois qu'en prépa, le plus est d'être confronté à ses difficultés, beaucoup plus qu'au travail lui-même. C'est du moins comme ça que je le ressens. Et c'est pratiquement à l'inverse de ce qu'on m'avait dit, sous prétexte que j'étais censée "progresser très rapidement". Pas encore, en tous cas.
Avec C., on a parlé malgré tout. Il a des problèmes je crois. De santé et autre. Il ne veut pas que je m'en mêle, c'est compréhensible. Mais c'est dur aussi de le savoir si proche et si triste, dans son coin. Il ne veut personne ? Mais n'a-t-il véritablement besoin de personne ? C'est dur de ne savoir que faire.
Je vais travailler, enfin.
Et je reviendrais sûrement par ici un peu plus souvent. J'avais oublié cet endroit, presque !